Jojo.

A l'occasion de la venue dans ma contrée éloignée d'une figure majeure de la scène électronique française,  je vais tenter de me lancer dans un petit récapitulatif assez rapide du personnage sus-cité : Joakim.
Le français sort son premier maxi sous son prénom en 2002 sur le prestigieux label Versatile Records. Il lance en parallèle son label : Tigersushi, qui va de suite attirer grands noms et grands espoirs de la musique : John TejadaPony Hoax, Krikor et j'en passe.
Le premier album du bonhomme (Fantomes, en 2003 chez Versatile) va confirmer son penchant assumé pour l'électro-pop bizarre et la disco 2.0. Joakim devient un gage d'élégance, d'efficacité et de nouveauté.


Toujours fourré dans les bon coups, Joakim enchaîne aussi les remixs. Son remix du Pocket Piano de DJ Mehdi, alors sous le feu des projecteurs avec Ed Banger, à contribué à sa notoriété grandissante. Joakim n'est effectivement pas qu'un expérimentateur électronique, il sait aussi se conformer au préceptes du dancefloor comme le montre ce remix pour Simian Mobile Disco, grosse machine à danser.


Sa productivité ne se tarit pas et il enchaîne les productions et remix dans tout les styles, de l'édit pop-rock, à l'acid-house, en passant par la disco. Son dernier album (Nothing Gold chez Tigersushi) est incontestablement un gros morceau de l'histoire musicale de 2011.

Joakim & Krikor
Boysnoize presents Super Acid
2011
Boysnoize Records

Pour prouver encore une fois ses qualités, voilà un des morceaux qui fait incontestablement parti de mes préférés, tout styles confondus. Chloé l'a même utilisé en conclusion de son Live at Robert Johnson.

Seventeen Evergreen
Music Is The Whine [EP]
2005
Lucky Number

Joakim, accompagné de sa formation instrumentale The Disco, sera samedi chez mes copains du Temps Machine (Joué-Lès-Tours), avec Logo et Splash Waves. Toutes les infos ici !

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